Ecrivain

7 août 2006

Ayant des envies de devenir écrivain, Jambos a décider de réecrire la fin d'Anges et Démons, le célèbre livre de Dan Brown, auteur du DA VINCI CODE.

C'est pourquoi je vous adresse son écrit que j'espère vous apprécierez. Ceci est véridique : C'est bel et bien Jambos qui l'a écrit.
Le temps que sa lettre nous parvienne d'Amazonie, une quinzaine de jours est passée.

" Langdon et Vittoria quittèrent la chapelle Sixtine et se dirigèrent vers la place Saint Pierre rejoindre la foule, qui attendait la fin du conclave. Durant l’attente sur la place Saint Pierre, Langdon ne se sentait pas bien, il avait un fort mal de tête et avait mal aux yeux. Il le dit à Vittoria, elle pensait qu’il était épuisé à cause de tous les évènements de la journée et elle lui proposa de partir avant la fin du conclave. Il accepta et ils se dirigèrent en direction de l’hôtel le plus proche. Quelques instants plus tard sur la Via della Conciliazione, le mal de tête de Langdon était plus intense et celui-ci s’écroula sur la route. Vittoria, paniquée, le secouait et l’appelait
« Robert, Robert »
mais il restait inanimé. Elle était seule, tout le monde était sur la place Saint Pierre ou devant la télévision pour assister à la fin du conclave. Elle voulut appeler une ambulance, elle chercha son portable dans sa poche mais elle se rappela que l’assassin des quatre cardinaux lui avait volé. Et elle se rappela aussi que toutes les lignes étaient saturées ce soir. Elle criait pour avoir de l’aide mais personne ne l’entendait. Elle décida donc de laisser Langdon, elle courut chercher de l’aide auprès des gardes Suisses. Elle rencontra Chartrand, elle était essoufflée :
« - Qu’est-ce qu’il vous arrive Melle Vetra ? - Robert est inconscient, il est sur la Via della Conciliazone. Il faut l’emmener tout de suite à l’hôpital.
- Oui dépêchons-nous, je vais chercher une voiture ! »
Deux minutes plus tard, ils arrivèrent près de Langdon qui était toujours inconscient. Ils le portèrent et le mirent à l’arrière. Chartrand se dépêcha, ils arrivèrent en moins de dix minutes à l’hôpital des Frères de Saint-jean-de-Dieu. Toute l’équipe des Urgences reconnut Langdon qui portait sa tenue d’infirmier, ils étaient inquiets. Le médecin interrogea Vittoria :
« - Est-ce qu’il s’est plaint d’une douleur quelconque ?
- Oui d’un violent mal de tête et d’un problème au niveau des yeux.
- Nous allons lui faire passer un scanner tout de suite, je reviendrais vous voir quand j’aurais des nouvelles. »
Dr Jacobus vit sur l’écran la dilatation d’un segment d’artère et le début d’une hémorragie méningée. Quelques minutes plus tard, le médecin alla voir Vittoria Il lui annonça que Langdon souffre d’une rupture d’anévrisme à l’intérieur du crâne.

« Nous allons l’opérer de toute urgence mais je ne vous cache pas que les chances qu’il s’en sorte sont minimes car la compression d’un organe vital peut entraîner un risque de décès rapidement.
En entendant ceci, Vittoria s’effondra. Le médecin lui dit :
« Nous allons faire de notre mieux pour le sauver, je suis désolé mais je dois vous laisser. Vous pouvez attendre dans la salle d’attente du service de chirurgie B, je reviendrais vous voir après. »

La durée de l’opération parût très longue à Vittoria, elle était malheureuse à l’idée de savoir qu’elle ne reverrait peut être jamais celui avec qui elle avait vécu cette journée riche en émotions et celui qui lui avait sauvé la vie. Elle ne le connaissait que depuis quelques heures mais elle l’aimait. Elle ressassait dans sa tête les dernières vingt-quatre heures passées en sa compagnie. A la fin de l’opération, Dr Jacobus alla la voir :
« Melle Vetra, l’opération s’est bien passée, »
En entendant ces quelques mots, Vittoria retrouva le sourire, Robert est vivant.
« mais il est actuellement dans le coma. » Vittoria perdit son sourire et lui demanda :
« - Quand pourrais-je le voir ?
- Une infirmière va le descendre du bloc et l’emmener dans sa chambre et vous pourrez le voir. Ne perdez pas espoir Melle Vetra »
Un peu plus tard, Vittoria entra dans la chambre de Langdon, il était intubé pour l’aider à respirer et sous perfusion pour l’alimenter et lui administrer des médicaments. Vittoria était triste de le voir dans cet état. Langdon était maintenant entre la vie et la mort, elle savait qu’il pouvait se réveiller dans quelques minutes comme ne jamais se réveiller, et la deuxième solution la hantait. Elle alla le voir tous les jours, elle lui parlait. Elle ne voulait pas rentrer au CERN tant que Langdon ne s’était pas réveiller.
Les jours suivants, l’état de santé de Langdon s’améliora. Il pouvait respirer seul, sans l’aide de la machine. Une semaine après, lors d’une visite de Vittoria, Langdon cligna des yeux et se réveilla. Vittoria était folle de joie, elle alla chercher Dr Jacobus, en voyant Langdon celui-ci dit
« Robert Langdon est vraiment un miraculé ! »
Le médecin posa quelques questions à Langdon pour savoir comment il se sentait. Langdon se sentait perdu, il ne savait pas où il était, ce qui lui est arrivé. Il reconnut la femme qui était dans sa chambre mais il ne savait plus son prénom ni comment il la connaissait.
Vittoria lui raconta alors tout l’histoire à partir du CERN jusqu’à sa sortie du coma. La mémoire de Langdon revenait progressivement, au fil du récit de Vittoria. Il était content que Vittoria soit là et qu’elle soit venue le voir tous les jours. Il était sûr d’une chose, elle l’aimait et lui aussi. Vittoria se rappela que Chartrand lui avait donné un cadeau pour Langdon. Le cadeau était accompagné d’une lettre du nouveau pape (Mortati). Il lut la lettre :
« Monsieur Langdon et Mademoiselle Vetra, Bien que je désire que vous gardiez le plus grand secret au sujet de ce qui s’est passé ces dernières vingt- quatre heures, je ne puis vous en demandez plus que vous m’avez déjà donné. Je vous prierais donc humblement de laisser votre cœur vous guider dans cette affaire.
Le monde semble meilleur aujourd’hui, peut- être les questions sont telles plus puissantes que les réponses …
Bon rétablissement Mr Langdon
Ma porte vous sera toujours ouverte, La sainteté, Saverio Mortati »

Il déballa ensuite le cadeau, c’était le diamant des illuminati, il était émerveillé comme un enfant devant un nouveau jouet. Il était heureux :
« Je suis très content, je suis entouré de deux merveilles : le diamant et toi, Vittoria ».
Langdon et Vittoria s’embrassèrent tendrement et longuement.